Plutôt que de redéfinir les principes de l’open data, ce billet défend l’idée qu’il d’y répondre et de clarifier un point : ouvrir et partager des données sont deux choses différentes.
Quel rôle pour l’open data au sein de la ville intelligente ? Quelques enseignements tirés de notre voyage d’étude au Canada.
Opendatacanvas.org propose un ensemble cohérent de ressources prêtes à l’usage et des principes, tous deux gouvernés par la communauté afin d’assister un large ensemble d’opérations concrètes menées au quotidien par les responsables de projets open data, les producteurs et les réutilisateurs de données.
Dans cette tribune dans La Gazette des Communes, Joël Gombin constate que les projets de smart city sont souvent dépolitisés, relevant “simplement” d’un souci de “bonne gestion”. À quoi pourraient ressembler des politiques de transition numérique des villes, répondant aux enjeux économiques, sociaux et écologiques actuels ?
Après un parcours en collectivités territoriales sur des projets d’archivage électronique avant de se diriger vers la gouvernance des données, Anne-Laure a choisi pour ce billet de présenter six points communs entre les archives et l’open data.
L’objet de cet article est de détailler la méthodologie employée et les différentes difficultés rencontrées pour permettre à d’autres administrations de comprendre quelles sont les étapes nécessaires pour un projet de tableau de bord en se concentrant sur les aspects de formatage des données.
Afin de conduire les ateliers Dat’accélère, nous nous sommes appuyés sur le parcours d’évaluation du potentiel data, une méthodologie qui vise à évaluer le potentiel des données pour un projet. Elle comporte trois phases principales qui, selon les projets, pourront s’étendre entre les différents ateliers.
Comment connaître précisément l’impact de l’utilisation des données ? Cet article présente les différents niveaux d’évaluation de l’impact avec leurs contraintes et détaille trois levier à activer pour multiplier l’impact de l’open data.
Plutôt que de redéfinir et consolider les principes de l’open data, il nous faut plutôt nous accorder sur les termes. Ouvrir, ce n’est pas juste partager des données, c’est les ouvrir au plus grand nombre. L’ouverture est une des modalités du partage et c’est celle qui garantit l’impact économique et social le plus fort.
Etienne revient dans cette série de 3 billets de blog sur l’ouverture des données de transport avec une présentation des acteurs français et britanniques du secteur et les enseignements d’un workshop à Londres à l’Open Data Institute.
Entre janvier 2016 et avril 2018, Etienne a été en charge d’initier et de conduire une politique d’open data pour la Métropole Européenne de Lille. Voici quelques enseignements qu’il a pu retenir de cette expérience.
Le recensement des données ouvertes par les municipalités vous permet de connaitre quelle commune a ouvert quel jeu de données sur un échantillon de 16 villes en France. Il n’est pas exhaustif mais il permet d’ores et déjà de découvrir plus de 400 jeux de données ouverts et ouvrables
Si Big Data, Data Science et gouvernance des données sont actuellement des termes à la mode au sein des entreprises, “Open Data” est un mot encore rare dans le lexique des entreprises. Pourtant les opportunités liées à l’Open Data sont nombreuses pour les acteurs de la sphère privée.
Les promesses de la standardisation sont bien connues mais que se passe-t-il quand on standardise des données ? Les données sont-elles aussi facilement réutilisées qu’anticipé ? Comment les standards peuvent-ils évoluer pour prendre en compte les retours des usagers ? Suite à un meetup à Londres, voici les histoires et les enseignements de 5 projets de standardisation dans des contextes variés et à différents niveaux de maturité.
L’initiative pour une commande publique ouverte locale, LOCI, cherche à valoriser les initiatives locales en matière de commande publique ouverte. Focus sur quelques exemples et les engagements de la ville de Paris pour approfondir l’ouverture des données de la commande publique.
Datactivist a animé un atelier pour conduire des diagnostics territoriaux en s’appuyant sur la cartographie des données réalisée par l’ANSES avec l’appui d’Etalab.